La Pédocriminalité au Sein de la Gauche : Une Sombre Histoire

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Le 10 octobre à 18h, Kroc Blanc est l’invité de Mike Borowski sur GPTV Actu. Ils reviennent sur la question de la pédocriminalité liés à des figures de la gauche et la façon dont leurs idées continuent d’influencer les institutions actuelles, notamment l’éducation nationale.

Kroc Blanc est un rappeur, vidéaste et streameur. Il est l’auteur de plusieurs albums de rap, dont Instinct, Echo, Héritage et Otoya, où il exprime ses opinions politiques sans concession ni tabou. Il anime aussi les chaînes YouTube FDENEWS et KBG Stream.

L’affaire Pierre-Alain Cottineau : un scandale révélateur

Récemment, l’affaire Pierre-Alain Cottineau a choqué la France. Cet homme, accusé d’actes ignobles, a ravivé le débat sur les dérives de certains courants intellectuels et idéologiques de gauche. Comme évoqué lors d’une émission précédente avec Maître David Guyon, cette affaire met en lumière la façon dont des idées autrefois marginales ont prospéré sans remise en question. Le scandale Cottineau sert de point de départ pour analyser la permissivité historique de la gauche envers certaines pratiques aujourd’hui et depuis toujours condamnées.

Les intellectuels de gauche et les controverses des années 1970

Les années 1970 ont marqué une période où des figures intellectuelles influentes, telles que Daniel Cohn-Bendit, Jean-Paul Sartre, Gilles Deleuze et Michel Foucault, remettaient en cause les normes morales et légales, notamment en matière de sexualité. En 1977, plusieurs de ces intellectuels ont signé une pétition adressée au Parlement français pour demander l’abolition des lois pénalisant les relations sexuelles entre adultes et mineurs. La pétition, qui incluait des noms célèbres comme Foucault et Sartre, a été publiée dans le journal Le Monde, suscitant une vive controverse.

• Daniel Cohn-Bendit, dans son livre Le Grand Bazar (1975), décrit des interactions avec de jeunes enfants mais le passage le plus connu reste son passage télévisé : « La sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. » « Il faut être honnête, sérieux. » « Vous savez quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique. ». Bien qu’il ait depuis nuancé ses propos, le passage a alimenté les accusations de tolérance à l’égard de comportements inappropriés.
• Michel Foucault, dans ses écrits et interventions publiques, a défendu l’idée que la société devait questionner les règles morales relatives à la sexualité et a soutenu des positions sur la libération sexuelle, y compris des relations qui, à l’époque, étaient déjà controversées.
• Jean-Paul Sartre et Gilles Deleuze ont également été des voix influentes dans ce mouvement, plaidant pour une redéfinition des normes sociétales. En 1978, lors de débats télévisés, Sartre a explicitement remis en question la légitimité de certaines lois restrictives en matière de sexualité.

Ces idées n’étaient pas seulement confinées aux cercles intellectuels ; elles étaient aussi largement diffusées dans les médias, où des débats sur la « libération sexuelle » étaient courants, notamment dans le journal Libération.

Le climat permissif des années 70 a créé un espace où les limites morales semblaient floues, contribuant à la banalisation de certaines pratiques qui seraient aujourd’hui unanimement condamnées.

De la propagande pédocriminelle à l’idéologie woke

Si la propagande pédocriminelle de l’époque était explicite, les influences contemporaines sont plus subtiles. L’idéologie « woke » et les discours sur la modernité reprennent certaines idées de la période en les adaptant aux enjeux actuels. L’éducation nationale, par exemple, est critiquée pour promouvoir une éducation sexuelle dès le plus jeune âge, ce qui, selon certains, s’apparente à une tentative de normaliser des discussions inappropriées avec les enfants.

Des figures comme Sartre, Foucault et Deleuze sont toujours célébrées dans les programmes scolaires, souvent sans mention de leurs positions controversées. Cette persistance pose la question de leur rôle dans la construction idéologique actuelle. Certains critiques y voient une tentative des élites « mondialistes » pour éroder les valeurs traditionnelles au profit d’une relativisation des normes morales.

Un héritage intellectuel problématique

L’influence de ces intellectuels de gauche ne se limite pas aux idées sur la sexualité. Leur héritage se manifeste à travers des mouvements qui questionnent les structures sociales traditionnelles, y compris la famille et les principes éducatifs. Les lois et politiques publiques en France continuent de montrer les signes de cette influence, qu’il s’agisse de débats sur l’âge du consentement, de l’éducation sexuelle ou de la conception de la liberté individuelle.

Pourquoi des philosophes comme Sartre et Foucault ont-ils pu défendre des positions qui seraient aujourd’hui unanimement rejetées ? Leur influence a-t-elle été instrumentalisée pour déconstruire les bases morales de la société ? En revenant sur les débats des années 1970 et leurs répercussions actuelles, l’affaire Pierre-Alain Cottineau sert d’illustration de la complexité et de la dangerosité de certaines idées qui, même marginales à leur époque, ont pu laisser des traces durables.

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