Le 15 décembre à 9h, Jean Claude Pascal est l’invité de Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde. L’émission revient sur la polémique autour de Notre-Dame de Paris, de l’origine de l’incendie aux symboles maçonniques.
Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, mais également reconnu pour son intérêt profond pour l’alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est tourné vers l’étude des anciennes pratiques alchimiques, cherchant à établir des liens entre les principes scientifiques modernes et les enseignements mystiques de l’alchimie. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, en mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière, tout en s’appuyant sur ses connaissances en thermodynamique pour interpréter certains aspects des traditions hermétiques.
L’incendie : un symbole de destruction pour une « renaissance » détournée
Le feu qui a ravagé Notre-Dame en avril 2019 n’est pas qu’un simple accident patrimonial. Symboliquement, il évoque un processus de destruction nécessaire pour reconstruire sur de nouvelles bases. Ce principe, connu dans les traditions ésotériques et alchimiques, est ici utilisé à des fins idéologiques. Mais au lieu de restaurer Notre-Dame dans l’esprit de sa vocation chrétienne, la reconstruction semble orientée vers une vision totalement étrangère à la foi en Christ.
Cette idée de « renaissance » évoquée par certains acteurs du projet n’a rien à voir avec la spiritualité chrétienne, basée sur la foi, la rédemption et l’espoir. On cherche ici à imposer une nouvelle symbolique, plus en phase avec les ambitions modernes et matérialistes, parfois même transhumanistes.
L’objectif est clair : transformer Notre-Dame en un lieu neutre et universel, vidé de sa signification chrétienne, pour la reprogrammer comme un symbole de modernité spirituelle. Le chantier de reconstruction n’est donc pas une simple remise en état, mais un véritable projet de redéfinition culturelle.
Un mobilier liturgique vidé de son essence chrétienne
La rénovation intérieure de Notre-Dame illustre parfaitement cette dérive. Le mobilier liturgique, qui joue un rôle central dans la pratique du culte, semble aujourd’hui être influencé par des symboles maçonniques et des designs éloignés des codes sacrés traditionnels. Ces choix esthétiques ne sont pas anodins : ils participent à une volonté claire de brouiller les repères spirituels.
Au lieu d’exalter les symboles chrétiens – la croix, l’autel, les fresques – on propose un environnement épuré, presque abstrait, où le message du Christ semble effacé. Ce vide symbolique ouvre la porte à une autre spiritualité, plus neutre, voire ésotérique.
Lors de son allocution lors de la réouverture de la cathédrale, Emmanuel Macron choisit de parler à l’intérieur de Notre-Dame, transformant ce lieu sacré en une scène politique. Ce geste marque une rupture : la cathédrale, consacrée au culte, est détournée pour servir une stratégie médiatique et une idéologie universelle. Notre-Dame devient ainsi un outil au service de la République, éloigné de ses racines chrétiennes.
Une obsession pour l’Ancien Testament et le Temple de Jérusalem
Un autre point inquiétant de cette reconstruction est la mise en avant de références à l’Ancien Testament et au Temple de Jérusalem, au détriment du message du Nouveau Testament. Ce choix ne relève pas du hasard : il traduit une volonté de déplacer le centre spirituel de Notre-Dame.
Dans le christianisme, le Christ a annoncé une nouvelle vision de la foi, détachée des temples de pierre pour s’élever « en esprit et en vérité ». Pourtant, la rénovation actuelle semble au contraire chercher à ancrer Notre-Dame dans une symbolique archaïque, liée à la matérialité des temples de l’Ancien Testament.
Cette fixation sur le Temple de Jérusalem trahit un messianisme politique étranger au christianisme. Ce n’est plus le message du Christ qui est mis en avant, mais une vision tournée vers un projet spirituel universel, en phase avec les ambitions mondialistes actuelles. Cette relecture idéologique transforme Notre-Dame en un outil de propagande, au service d’un nouvel ordre spirituel et culturel.
Notre-Dame : miroir d’une civilisation en crise
Ce qui se joue à Notre-Dame dépasse largement le cadre architectural. La cathédrale est le reflet d’un combat spirituel plus large : celui de la préservation des racines chrétiennes face aux attaques d’une idéologie qui cherche à tout neutraliser et à tout globaliser.
En transformant un haut lieu de la foi chrétienne en un symbole de modernité universelle, les promoteurs de cette rénovation trahissent non seulement les fidèles, mais aussi les fondements mêmes de la civilisation française et européenne. La France, fille aînée de l’Église, voit ici l’un de ses plus grands symboles spirituels être vidé de son essence et détourné au profit d’un projet étranger.
Revoilà Mr Consensuel. Trop, car son symbolisme du feu (entre 30′ et 35′) part dès le départ sur une fausse piste; pourquoi? (même chose presque à la fin, à propos des pompiers).
Parce qu’il suppose que l’incendie était accidentel, chaque fois que Nicolas lui demande quelque chose à ce sujet, il esquive pour ne pas donner d’avis, ou il acquièse en passant vite à la suite sans rien dire. Du coup, le symbolisme du feu déclenché par des mafieux pédos n’est pas le même que celui qu’il propose et qui correspond à un accident.
On retrouve le même type de consensuel dans l’affaire de Rennes-le-Château, ou des FM comme Doumergue&Jacquier&Vallet orientent ou désorientent les chercheurs selon un plan qui leur échappe. A croire que dès qu’un groupe cherche quelque chose, un des leurs instruit de ce que cherche le groupe le rejoint pour l’orienter discrètement.
Effectivement s il esr ingénieur. Y a pas 36 possibilité du thermite ou une arme secrète comme au 11 septembre.