Le 13 octobre à 16H, on demande aux Françaises et aux Français ce qu’ils pensent de l’explosion des factures d’électricité. Entre sacrifices, colère grandissante et élites intouchables, jusqu’où le peuple pourra-t-il tenir face à cette crise qui n’en finit plus ?

La crise frappe et le peuple s’effondre
Le marché de l’électricité en France est aujourd’hui en proie à une véritable tempête. Les taxes sur l’électricité ne cessent d’augmenter, ajoutant un fardeau supplémentaire à une population déjà étouffée par les pressions économiques. Ce ne sont plus seulement les ménages modestes qui en souffrent : même les familles de classe moyenne, autrefois épargnées, peinent désormais à boucler leurs fins de mois. Les efforts désespérés pour économiser de l’énergie ne suffisent plus, et pour beaucoup, la vie se résume désormais à une simple survie.
Les conséquences de cette situation se font ressentir de manière dramatique. Des commerces de proximité, pilier des quartiers, ferment leurs portes les uns après les autres, incapables de faire face à des charges exorbitantes. Plus tragique encore, certains citoyens, acculés par des dettes qu’ils ne peuvent plus rembourser, prennent des décisions désespérées. Cette crise énergétique ne se limite plus aux factures impayées, elle dévoile un problème plus profond : un système où c’est toujours le peuple qui doit payer l’addition pour les erreurs des élites politiques et économiques.
Le déficit public ne fait qu’augmenter, et face à cette impasse, la solution ne peut pas simplement être de rajouter des taxes. Jusqu’où le peuple pourra-t-il tenir sans craquer ? Le ras-le-bol général grandit, et la colère gronde.
Les élites à l’abri
Pendant que les citoyens français se serrent la ceinture pour régler leurs factures d’électricité, les élites politiques continuent de vivre dans un confort ostentatoire, à l’abri des difficultés quotidiennes et s’offrent même le luxe d’augmenter leur budget de 20 millions d’euros pour 2025 !
Ces politiciens ne connaissent pas les fins de mois difficiles, ni les sacrifices que fait le peuple pour tenter de maintenir un minimum de dignité. Leur préoccupation semble être exclusivement de préserver leur train de vie luxueux, à mille lieues des réalités que vivent les Français.
Les contribuables, eux, regardent avec incompréhension : où va notre argent ? Comment expliquer que, malgré les augmentations d’impôts et de taxes, les services publics se dégradent, et les dépenses publiques explosent ? Le gouffre entre les classes dirigeantes et le reste de la population ne cesse de s’élargir.
Réduire le train de vie des politiques serait un premier pas vers une justice économique. Ce geste permettrait de rétablir une partie de la confiance perdue entre le peuple et ses dirigeants. Mais il est naïf de penser que ceux qui sont au pouvoir prendront cette décision d’eux-mêmes. La machine politique est inamovible, ancrée dans ses privilèges.
Le réveil des Français est-il encore possible ?
De plus en plus de Français se sentent piégés, pris au piège d’un système où ils sont forcés de payer toujours plus sans jamais avoir leur mot à dire. Les factures s’accumulent, les impôts augmentent, et pourtant, les réponses des autorités demeurent insuffisantes. Face à cette spirale descendante il est légitime de se demander combien de temps encore le peuple restera-t-il silencieux ? Combien de temps les Français accepteront-ils d’être des spectateurs impuissants de leur propre déclassement ?
Même les syndicats, autrefois porte-voix de la colère populaire, semblent aujourd’hui dépassés par l’ampleur de la situation. La frustration qui monte dans le pays est telle que les méthodes traditionnelles de contestation ne suffisent plus à canaliser la colère. Les Français doivent désormais prendre conscience que la seule voie possible est celle de l’action collective. La peur de l’avenir ne doit pas empêcher la mobilisation pour un avenir meilleur.
Il est grand temps que les Français se lèvent et défendent leurs droits. La peur est une arme puissante, mais elle ne peut continuer à étouffer le besoin de changement. Plus les citoyens seront unis, plus ils seront à même de faire entendre leur voix et d’exiger des réformes qui permettront de retrouver une certaine justice et dignité.
M.M les parlementaires, que faites-vous avec ça ?
L’école de Chicago – L’idéologie Friedman – Le capitalisme du désastre –
La globalisation, votre sainte religion à tous !
Depuis sept ans, nous avons un génie à l’Elysée, un autre qui succède à d’autres génies à Matignon, parmi d’autres génies en la personne de chaque Ministre,
Des sénateurs et députés géniaux qui accompagnent tout ça jusqu’à Bruxelles!
et la France est par terre dans tous les domaines !
Etes-vous Artisans ? Complices ? Co-auteurs ? Ignorants ? Manipulateurs ?
Qu’ont en commun le coup d’État de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, les attentats du 11 Septembre, les guerres en Irak – Syrie – Lybie…, le tsunami au Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, la guerre OTAN/Russie – UE/Russie – France/Russie par proxy Ukrainien, L’horrible guerre des israéliens contre Palestiniens, la pandémie de COVID et le scandale de ses vaccins ARNm, la pratique de la torture à AbouGhraïb ou Guantánamo ? On pourrait y ajouter la désastreuse Union Européenne dont les Français ont dit par référendum qu’ils n’en voulaient pas? Les crises qui enrichissent les riches et saignent les pauvres ? La faillite de la France en 2024 avec 5.800 milliards de dette et le massacre à la tronçonneuse des services publics et droits sociaux ? Les privatisations ? L’hégémonisme des Etats-Unis avec leur extraterritorialité et dollar? La vassalité et les humiliations de la France ? L’horrible globalisation ?
Tous ont partie liée avec l’avènement d’un “capitalisme du désastre”.
Naomi Klein dénonce avec brio l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme tout-puissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour saper les valeurs démocratiques auxquelles les sociétés aspirent, et leur substituer la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.
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C’est sûr !
Le gouvernement maltraite son peuple méritant au lieu de s’occuper de la délinquance avec laquelle il devrait faire preuve de plus de fermeté !
A ce rythme nous allons tout droit dans le mur …
A quand de nouvelles mesures pour réduire les dépenses outrancières de l’Elysée ? Dépenses excessives de tous ces gens qui nous gouvernent et qui dilapident allègrement l’argent sur le dos des Francais…