Un Vaste Réseau Criminel Derrière L’affaire Pélicot ?!

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Le 20 décembre à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous en direct sur Géopolitique Profonde, pour analyser un sujet d’actualité : l’affaire Pélicot à Mazan et la condamnation de Dominique Pélicot.

Dominique Pélicot, condamné à 20 ans de réclusion criminelle, n’est pas seulement le bourreau de sa femme. Ce mari monstrueux, qui l’a droguée pour la violer et l’offrir à des inconnus, symbolise une société gangrenée par des réseaux de criminalité sexuelle. Derrière ses actes, c’est une organisation bien plus vaste qui se dessine, protégée par le silence et l’inaction.

Un système orchestré et des complices invisibles

Pendant des années, Dominique Pélicot a méthodiquement planifié ses crimes. Grâce à des substances chimiques, il privait sa femme de conscience avant de la livrer à des viols collectifs. Ces « inconnus », recrutés pour participer à ces horreurs, ne sont pas de simples opportunistes. Leur participation s’inscrit dans un système structuré, révélant l’existence de réseaux où les corps sont marchandisés.

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Ces réseaux ne s’arrêtent pas à là. Les preuves récoltées, notamment des vidéos, soulèvent des questions : qui sont les acheteurs ? Où circulent ces images ? Et surtout, pourquoi ces pistes ne sont-elles pas exploitées ? La justice s’abstient délibérément de remonter jusqu’à ces complices, alimentant l’idée d’une protection active ou passive.

Pélicot, un bouc émissaire pour masquer un système plus vaste ?

La condamnation de Dominique Pélicot, bien que juste au vu des crimes commis, suscite une interrogation majeure : ne sert-il pas de bouc émissaire pour détourner l’attention d’un réseau plus vaste ? Si les actes monstrueux de cet homme sont incontestables, ils ne se limitent pas à son cas individuel.

Les inconnus qui ont participé aux viols collectifs et les vidéos produites et diffusées laissent penser à l’existence d’un système organisé. Pourtant, les enquêtes semblent s’être arrêtées à Dominique Pélicot, comme si son jugement suffisait à clore le dossier.

Ce procédé est familier : un individu est exposé comme responsable principal pour apaiser l’opinion publique, tandis que les véritables architectes du système restent intouchables. Dominique Pélicot pourrait bien être le visage visible d’une criminalité bien plus complexe, protégée par des complicités ou des intérêts puissants.

Une inversion totale des valeurs

L’affaire Pélicot incarne une inversion complète des repères moraux. Depuis deux décennies, la France assiste à une déchéance accélérée où les atrocités les plus abjectes deviennent presque invisibles. La banalisation des crimes sexuels, le silence autour des réseaux pédocriminels, et l’impunité des complices révèlent une société en pleine décadence.

Cette réalité pousse certains à évoquer une époque apocalyptique, où le mal domine et les institutions ne servent plus qu’à masquer l’injustice. La condamnation de Pélicot n’est qu’une réponse superficielle à une pathologie systémique.

L’ère de l’Antéchrist : un mal organisé

Ces crimes reflètent un basculement spirituel et moral. Dans de nombreuses traditions, l’Antéchrist symbolise une époque où les valeurs fondamentales disparaissent, laissant place à la corruption, au chaos et à l’exploitation des innocents.

Les réseaux pédocriminels, l’inertie des autorités et la multiplication des crimes organisés montrent que la France s’enfonce dans une ère sombre. Cette inversion des valeurs, où le mal est protégé et le bien sacrifié, évoque une société sous l’emprise d’une force destructrice.

Pourquoi la justice ne poursuit-elle pas ces pistes ? Quels intérêts se cachent derrière cette inertie ?

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