Taux négatifs ou la folie de la banque en fin de vie
« Allez vous faire voir chez les Grecs », telle est la traduction du discours économique de l’État français à l’égard de sa population.
C’est une première, les banques vous prêtent de l’argent à des taux négatifs, en somme elle vous paie pour que vous restiez fidèle à elle.
Cela semble être de bon augure me direz-vous sauf que… cela ressemble à une sorte de mariage arrangé.
Pourquoi ? Parce que si vous placez de l’argent chez elles, c’est uniquement pour les perfuser, car elles sont mourantes.
Le livret A par exemple avec un taux « augmenté » dernièrement à 1 % cela ne couvre même pas l’inflation.
Dans certains cas elles vous font même payer des taux pour que votre argent soit placé.
« Alors que certaines banques, outre-Rhin, ont décidé de répercuter les taux d’intérêt négatifs sur certains clients importants, le gouvernement s’inquiète et envisage de contre-attaquer.
La dernière tendance à la mode dans le secteur bancaire allemand ne plaît pas du tout au gouvernement et à la presse. Pire, elle les inquiète. Comme le rapporte L’Echo, outre-Rhin, les banques ont tendance, depuis quelque temps, à répercuter sur leurs gros clients les taux d’intérêt négatifs, décidés par la Banque centrale européenne (BCE). Et ce alors que l’épargne reste, en Allemagne, une variable majeure du système des retraites. Sont le plus souvent concernés par ces répercussions de taux négatifs, les clients dont les comptes affichent des dépôts supérieurs à 100.000 euros.
Sauf que certains établissements prennent également la liberté de regrouper les comptes d’un même titulaire dans le but d’atteindre cette somme totale de 100.000 euros et ainsi pouvoir répercuter ces taux négatifs si besoin. Selon les données du portail de consommation biallo.de, relayées par L’Echo, quelque 186 banques sur un total de 1.300 interrogées, pour le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, appliquent ces taux négatifs. Soit deux fois plus qu’il y a sept mois à peine. »
Résumons la situation :
- En 2008 apparaît la crise des subprimes.
- En 2009 les banquiers centraux se réunissent à Londres pour savoir comment gérer cette fâcheuse situation.
- Après discussion, s’offrait à nos braves amis le dilemme suivant pour sauver les meubles :
Soit nationaliser les banques en faillite, soit prendre l’argent du peuple pour les sauver.
Malheureusement, aucun représentant du peuple n’étant présent pour donner son avis, les banquiers ont alors décidé que le contribuable serait le meilleur sauveur possible.
Les absents ont toujours tort.

L’hyperinflation à venir, mais rassurez-vous, les « experts » nient cette hypothèse
Donc l’État français a prêté tout l’argent nécessaire aux banques française à l’article de la mort économique pour les réanimer.
Comment ?
Des fusions comme la Caisse d’Épargne avec la Banque populaire accouchant du nouveau bébé appelé BPCE et autres carabistouilles de cet acabit comme l’utilisation abusive de la planche à billets.
Au final, avec l’impression de toute cette fausse monnaie, est née l’hyperinflation que nous connaissons en l’état actuel des choses et c’est peu de le dire, car cela concerne tout le monde et même les services sociaux en prennent conscience.

Ce n’est que le début d’une lente douleur.
Voici des exemples d’inflation via la Grèce et les États-Unis entre décembre 2020 et 2021 par l’EISTAT (l’équivalent de L’INSEE) :
Grèce | États-Unis |
---|---|
Gaz naturel : 135 % | Essence : 49,6 % |
Électricité : 45 % | Voitures d’occasion : 37,3 % |
Mazout : 34,1 % | Voiture de location : 36 % |
Agneau 19,7 % | Hôtels : 27,6 % |
Huile Ménagère 14,1 % | Bœuf : 18,6 % |
Huile d’olive : 17 % | Porc : 15,1 % |
Pomme de terre : 14,2 % | Meubles : 13,8 % |
Pâtes 7,6 % | Voitures neuves : 12 % |
Poissons frais : 6,7 % | Poulet : 10,4 % |
Volaille : 6,6 % | Poisson 10,2 % |
Fruits : 5,5 % | Orange : 9,9 % |
Légumes : 5,5% | Bijoux : 8,8 % |
Pain : 4,9 % | Vêtements 8 % |
Bœuf : 4,2 % | |
Café 3,4 % |
Mais par contre l’INSEE – évidemment – ne voit qu’une augmentation de 2,8 % (sic).

Ces statisticiens ne doivent sans doute pas consommer les mêmes produits de consommation.
Donc quelle sera l’issue ?
Obligatoirement, une révolte sociale. D’où l’obligation d’une identité numérique et d’un contrôle social à la chinoise, pour que les banquiers centraux ne finissent pas au bucher.
C’est la domination globale ou la révolte des Nations.

Et pensez bien, chers lecteurs, que l’actualité Russo-Ukrainienne, avec son lot de « sanctions » économiques continuera à pénaliser, surtout, le petit peuple.
Face à l’inflation massive à venir, préparer-vous contre le projet oligarchie, le Great Reset :