Le 30/08/2024 à 12h30, Mike Borowski décryptera l’actualité sur GPTV Actu !
La France traverse une crise sans précédent, tant sur le plan économique que social, et la situation politique actuelle ne fait qu’aggraver les tensions. Alors que le gouvernement est démissionnaire, Emmanuel Macron continue de prétendre, avec l’aide des médias subventionnés, que tout est sous contrôle.
Mais la réalité est toute autre. Le suspense demeure quant au choix du prochain Premier ministre, avec des candidats comme Xavier Bertrand, Didier Migaud ou encore Ségolène Royal, qui vient de se déclarer en course pour Matignon.
Une France en crise : un gouvernement démissionnaire
La situation politico-économique et sociale de la France est catastrophique. Depuis plusieurs mois, les tensions ne cessent de croître, alimentées par une inflation galopante, un pouvoir d’achat en berne, et un climat social de plus en plus tendu.
Le gouvernement actuel semble avoir perdu toute emprise sur la situation. Pourtant, à travers les canaux médiatiques largement subventionnés, il continue de diffuser l’idée que tout est sous contrôle. Mais qui croit encore à ce discours ? Pendant ce temps, Emmanuel Macron repousse sans cesse l’échéance du choix d’un nouveau Premier ministre. Les noms qui circulent, tels que Xavier Bertrand, Didier Migaud ou Ségolène Royal, ne rassurent pas. Ces personnalités, bien connues de la scène politique française, incarnent un passé politique usé et déconnecté des réalités actuelles.
Macron s’entoure de fidèles soumis aux intérêts américains
Emmanuel Macron semble déterminé à s’entourer de « vieux de la vieille » en politique, des figures ayant déjà prouvé leur loyauté non pas à la France, mais aux intérêts supranationaux, notamment américains. En choisissant des personnalités comme Bertrand, Migaud ou Royal, il s’assure d’avoir à ses côtés des individus qui ne feront pas de vagues, qui ne remettront pas en cause sa politique, et surtout, qui l’aideront à poursuivre son projet de démantèlement des fondations et valeurs qui ont autrefois fait la grandeur de la France.
Ces choix révèlent une stratégie claire : maintenir le statu quo pour éviter toute opposition réelle à son programme, un programme qui précipite chaque jour un peu plus la France vers l’abîme.
Une censure généralisée pour mieux contrôler
La censure en France n’est plus seulement une affaire de liberté d’expression individuelle. Elle s’étend désormais aux plus hautes sphères de l’État. En muselant les voix dissidentes, en réduisant au silence toute opposition, Macron et son gouvernement cherchent à s’accaparer l’ensemble de la sphère politique, comme ils l’ont déjà fait avec la sphère médiatique.
Leur objectif est clair : un gouvernement soumis, sans véritable contre-pouvoir, qui leur permettrait de contrôler totalement l’avenir du pays. Ce contrôle ne se limite pas aux discours, il s’étend à l’ensemble des institutions pour assurer la mise en œuvre de leur agenda sans entrave.
L’Agenda avance : vers la fin des États-nations ?
Leur agenda avance à un rythme inquiétant. Sur le plan gouvernemental et institutionnel, les signes sont de plus en plus évidents. La mise en place imminente des monnaies numériques de banques centrales (CBDC) pourrait être le coup de grâce pour la souveraineté économique des nations.
Ce contrôle total des transactions financières s’accompagne d’une volonté de créer une entité supranationale, les États-Unis d’Europe, au détriment des pays et États-nations. Cette chimère, entièrement dévouée aux intérêts supranationaux, et en particulier américains, menace de mettre fin à l’idée même de la France en tant que nation indépendante.
Sommes-nous prêts à sacrifier notre souveraineté sur l’autel de ces ambitions globalistes ?
Entièrement d accord avec vous, on se fatigue à expliquer dans tous les sens et on a des réflexions à côté de la plaque…