Le 29 août à 18h, Alain Escada et Patrice Magneron sont les invités de Mike Borowski, sur GPTV Actu en direct !
Alain Escada est le président de Civitas, un mouvement politique et associatif français connu pour ses positions conservatrices et nationalistes. Il est souvent engagé dans des débats publics autour des valeurs traditionnelles, de la défense de la souveraineté nationale et de la critique des politiques migratoires et sociétales en France.
Patrice Magneron est le président de l’association IDNF (Initiative pour la Défense de la Nation Française), une organisation engagée dans le rapprochement entre militaires et civils. À travers diverses actions et activités, l’IDNF œuvre pour renforcer les liens entre ces deux composantes essentielles de la société, en mettant l’accent sur des valeurs de patriotisme et de défense de l’identité nationale.
Un récidiviste en liberté
Un tragique incident a secoué la France : un gendarme, l’adjudant Éric Comyn, a été mortellement percuté par un ressortissant cap-verdien lors d’un contrôle routier après un refus d’obtempérer. L’homme de 39 ans a déclaré lors de ses auditions avoir percuté le gendarme « involontairement » et avoir quitté les lieux « pris de panique », affirmant ne pas l’avoir vu sur la chaussée, selon le ministère public. Cependant, à l’issue d’un examen psychiatrique, l’expert a confirmé l’entière responsabilité pénale de l’individu et sa capacité à faire face à une sanction pénale.
Malgré un lourd casier judiciaire incluant des faits de violences, délit de fuite, conduite sans permis, et port d’arme prohibé, il était toujours en France. Après cet acte tragique, il a été déféré devant la justice, mis en examen pour « meurtre sur une personne dépositaire de l’autorité publique » et « refus d’obtempérer », puis placé en détention provisoire.
Une erreur de l’État
Le meurtrier, bien connu des services de police pour une dizaine de faits, avait été condamné à dix reprises. Cependant, malgré cette longue liste de condamnations, il a continué de résider légalement en France. Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, a déclaré ce mercredi sur RMC que, compte tenu de son passé criminel, le titre de séjour de cet individu n’aurait jamais dû lui être délivré, invoquant un « non-respect du pacte civique d’hospitalité ».
Comment expliquer qu’un individu au profil aussi dangereux puisse circuler librement sur notre territoire ? Ce dysfonctionnement apparent du système judiciaire soulève des inquiétudes légitimes sur la sécurité des citoyens et sur les mesures prises pour gérer les délinquants multirécidivistes, notamment ceux d’origine étrangère.
La veuve accuse : « La France a tué mon mari »
La veuve du gendarme décédé, Harmonie Comyn, a exprimé sa douleur lors d’une cérémonie d’hommage rendue à son mari, l’adjudant Éric Comyn, dans la commune de Mandelieu-la-Napoule où il était affecté. La voix enrouée par l’émotion, elle a livré un poignant réquisitoire contre le laxisme de la justice française. «Je l’affirme haut et fort, la France a tué mon mari», a-t-elle déclaré avec force devant des gendarmes en uniforme et des élus rassemblés. Elle a dénoncé « l’insuffisance, le laxisme et l’excès de tolérance » du système judiciaire, en s’interrogeant : «Comment, pourquoi cet homme multirécidiviste peut-il évoluer en toute liberté ?». Pour elle, ce n’est pas seulement l’assassin qui est responsable, mais aussi l’État français, qui, par une application trop souple de la loi, mettrait en danger ses propres citoyens.
Alain Escada et Patrice Magneron décrypteront ces questions lors d’un débat en direct sur GPTV Actu, animé par Mike Borowski.
Ne manquez pas cette émission essentielle pour comprendre les enjeux sécuritaires actuels en France.
Je ne crois pas aux hommes politiques vu que ils font parti tous d une caste obscurantiste qui violent toujours les dix commandements ; donc ne comptons pas sur le RN .